Adresse: 10 rue Guénégaud (métro Odéon).
Ambiance: Bar à cocktails posé au rez-de-chaussée, club branché/décontracté au sous-sol. Décoration moderne, sobre et élégante, dans les deux cas, dans les tons noir, or et blanc.
Musique: Là encore, tout dépend de l’endroit: au rez-de-chaussée, c’est musique exotique, rock classique, funk ou reggae et assimilés; au sous-sol, on passe de la deep house au funk electro/caribbean, selon le DJ du jour.
Spécialités: Encore une fois (oui, on fait les bars testés pendant la Rhum Week là), les cocktails. Dans l’ensemble, un choix restreint mais très bien maîtrisé et de qualité, avec créations originales, adaptations de classiques et cocktails à partager; dans tous les cas, c’est très équilibré et bien travaillé. Et puis, bien sûr, une sélection d’alcools divers et deux bières (Volcelest + la surprise du mois) en pression.
Prix: Pour les cocktails, entre 12 et 16 euros pour les individuels (sauf promotion spéciale les faisant descendre à 10) et 55 pour les partagés (pour quatre personnes en théorie). Les alcools sont eux disponibles au verre (entre 6 et 25 euros) ou à la bouteille (de 60 à 400). Dans tous les cas, la qualité est totalement au rendez-vous!
Horaires: 18h-02h du mercredi au samedi. La cave elle peut rester ouverte plus tard (c’est un club, tout de même).
Avantages: Une ambiance très agréable, détendue et plutôt chaleureuse malgré la sobriété des décorations; des serveurs aux petits soins, ouverts et très sympathiques; une bonne musique, à un volume tout à fait décent au rez-de-chaussée; suffisamment de place pour danser au sous-sol; et puis aussi, un fumoir au fond et un deuxième bar dans la partie club (ce qui contourne l’obstacle habituel de la descente des escaliers à 3h du mat’ un verre dans chaque main…). Possibilité aussi de privatiser le bar pour une soirée spéciale.
Inconvénients: Un peu cher, peut-être; la qualité est là, mais d’autres bars de niveau équivalent sont plus abordables — c’est sans doute aussi le quartier qui veut ça. À part cela, une place assez limitée au premier niveau, mais cela contribue aussi au côté intimiste.
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